Analectes volterianes. Visca en Voltaire, el millor mai. El no gaire menys magnífic, en Vilòbit, EMFASITZA una miqueta i prou. Poc cal gaire més. No esmenaràs pas el full al mestre, carallot.
1. C’est des Catalans que Tacite a dit [en exagérant, això afegit només d'ençà de 1751]: « Ferox gens nullam esse vitam sine armis putat; ce peuple féroce croit que ne pas combattre c’est ne pas vivre. » POBLE FEROTGE A COLLONS I QUI CREU QUE UNA VIDA SENSE COPS D'ARMES NO VAL RE.
2. Le plus ancien monument des duels ordonnés par les arrêts des rois est la loi de Gondebaud le Bourguignon, d’une race germanique qui avait usurpé la Bourgogne. La même jurisprudence était établie dans tout notre Occident. L’ancienne LOI CATALANE, citée par le savant du Cange [el gran gramàtic del XVII], [així com] les lois allemandes bavaroises spécifient plusieurs cas pour ordonner le duel. Borgonyons, Catalans i Bavaresos, ordenadors de la lluita, precursors de l'esport.
3. L’Èbre, qui est en Catalogne, est incontestablement l’Euphrate, dont un E est la lettre initiale. [AIXÒ HO DIU DE PER RIURE, i tanmateix la lletra E és la més prenyada de sentit. Diu en Plutarc que aquesta lletra de la plenitud era una de les quatre inscripcions a Delfos on l'oracle t'ho esbrinava tot. E vol dir ETS, reconeix l'existència d'allò que és i per extensió de tu mateix. Altrament ni saps qui ets. Bé et veus passant o passat, mai estabilitzat en un ésser sencer.]
4. Diu el nostre amic Voltaire... En bell homenatge [Les Catalònies Són Dones Idònies Rai!] a les dones millors...
La langue italienne n’était pas encore formée du temps de Frédéric II. On le voit par les vers de cet empereur, qui sont le dernier exemple de la langue romance dégagée de la dureté tudesque:
Plas me el cavalier Frances,
E la donna Catalana,
E l’ovrar Genoes,
E la danza Trevisana,
E lou cantar Provensales,
Las man e cara d’angles,
lon donzel de Toscana.
Ce monument est plus précieux qu’on ne pense, et est fort au-dessus de tous ces décombres des bâtiments du moyen âge, qu’une curiosité grossière et sans goût recherche avec avidité. Il fait voir que la nature ne s’est démentie chez aucune des nations dont Frédéric parie. Les Catalanes sont, comme au temps de cet empereur, les plus belles femmes! [TOUT COURT, CARALLOT!]
"Les Catalanes sont, comme au temps de cet empereur, les plus belles femmes de l’Espagne." [Mes tant se val..., això de l'Espagne només és una cosa geogràfica, vol dir la península Ibèrica, on hi ha d'altres nacions incloses (com ara la basca i la portuguesa) a part la merdosa i empudegosa i molt fastigosa del mig...]
5. La Catalogne se soulève et se donne à la France. Le Portugal, qui depuis Philippe II n’était qu’une province d’Espagne appauvrie, chasse le gouvernement autrichien et devient bientôt pour jamais un royaume séparé et florissant. (Quina enveja que ens fas, Portugal, lliure de la sapastre merdegada castelladra!)
6. Tant de clémence [de l'anglès a Barcelona] toucha le coeur des Catalans. Ceux qui avaient été délivrés des cachots de l’inquisition [o de les garjoles dels feixistes torturaires d'ara mateix] conçurent que notre religion [la no torturaire] valait infiniment mieux que la leur. Ils demandèrent presque tous à être reçus dans l’Église anglicane; et même quelques bacheliers de l’université de Salamanque [!, torneu-nos els papers, rosega-cagallons!] qui se trouvaient [ja!] dans Barcelone, voulurent être éclairés [ah!]. La plupart le furent bientôt [lloances sien dades, i que el miracle es repeteixi]. Il n’y en eut qu’un seul, nommé don Inigo y Medreso y Comodios y Papalamiendo [exacte, ja ho havia dit, i Merdoso i Merda-rosegando], qui fut un peu rétif [carrincló].
7. Philippe IV [protocanfelip], héritier de la faiblesse de son père, perdit le Portugal par sa négligence, le Roussillon par la faiblesse de ses armes, et la Catalogne par l’abus du despotisme... Les Catalans, qui regardaient leurs [?] rois comme leurs ennemis [exacte i ara encara més], ne leur permettaient pas même de lever des milices dans leurs provinces [ben fet!]... Les Catalans venaient de se donner à la France, protectrice de la liberté qu’ils défendaient contre leurs [?] rois. [Ara la France no protegeix sinó el seu melic corcat de jacobinot podrit.]
8. S’il (vol dir el cardinal Richelieu) a dit quelque chose des révolutions de la Catalogue et du Portugal, il va montrer par quels ressorts on peut profiter de ces grands événements... [Aprofitats!]
9. Les révolutions du Portugal et de la Catalogne exigeaient toute l’attention du ministre... Le désordre augmenta sous Philippe IV, fils de Philippe III. Son favori, le comte-duc Olivarès [a mort, el miserable palter!], lui fit prendre le nom de grand [ha-hà! Per què es pensen que son tan grans i són tan merdetes?] à son avènement; s’il l’avait été, il n’eût point eu de premier ministre. [AQUESTA ÉS BONA. SI EL CANFELIPÓS HAGUÉS SIGUT GRAN NO HAURIA PAS TINGUT PRIMER MINISTRE, I ENCARA MENYS UN MINISTRE TAN XARNEC.] L’Europe et ses sujets lui refusèrent ce titre: et, quand il eut perdu depuis le Roussillon par la faiblesse de ses armes, le Portugal par sa négligence, la Catalogne par l’abus de son pouvoir, la voix publique lui donna pour devise un fossé, avec ces mots: "Plus on lui ôte, plus il est grand." [COM MÉS PERD MÉS GRAN; EXACTE COM ELS FRANQUISTES, ELS D'ABANS I ELS D'ARA, AMB ALLÒ DE LA LLENGUA DE L'IMPERI I CAQUES PAREGUDES.]
10. La Catalogne entière, jalouse de ses privilèges auxquels il attentait, se révolte, et se donne à la France (1640) [jocs de política, xiquet; de fet, no ens hem donats mai; encara guerregem per la llibertat].
11. Tous les Catalans, nation belliqueuse et opiniâtre [QUI HO DUBTA? MAGNÍFICS I I FORTS I VALENTS], tenaient obstinément pour son concurrent [a favor de l'arxiduc contra el castelladregós molt repugnant].
12. [Catalunya, traïda per Anglaterra, abandonada...] Ceux qui avaient alors le plus de crédit dans cette province [en el sentit de contrada geogràfica, no la caguem], se flattèrent qu’ils pourraient former une République sous une protection étrangère, et que le roi d’Espagne ne serait pas assez fort pour les conquérir. Ils déployèrent alors ce caractère que Tacite leur attribuait il y a si longtemps: "Nation intrépide, dit-il, qui compte la vie pour rien quand elle ne l’emploie pas à combattre." [TORNEM-HI. AQUEST TÀCIT, TOT I DIR'S TÀCIT, ERA BEN EXPLÍCIT. I D'AFEGITÓ UNA MIQUETA PARLER...?]
13. [ARA, ARA...] La Catalogne est un des pays les plus fertiles de la terre, et des plus heureusement situés. Autant arrosée de belles rivières, de ruisseaux, et de fontaines, que la vieille et la nouvelle Castille en sont dénuées [castellàdria, ecs!], elle produit tout ce qui est nécessaire aux besoins de l’homme, et tout ce qui peut flatter ses désirs, en arbres, en blés, en fruits, en légumes de toute espèce. Barcelone est un des beaux ports de l’Europe, et le pays fournit tout pour la construction des navires. Ses montagnes sont remplies de carrières de marbre, de jaspe, de cristal de roche; on y trouve même beaucoup de pierres précieuses. Les mines de fer, d’étain, de plomb, d’alun, de vitriol, y sont abondantes: la côte orientale produit du corail. La Catalogne, enfin, peut se passer de l’univers entier, et ses voisins ne peuvent se passer d’elle. [CATALÒNIA POT PAIRAR'S DE TOTDÉU - L'UNIVERS SENCER, DIU L'AMIC - DEMENTRE QUE ELS SEUS VEÏNOTS NO PODEN FER RE SENSE ELLA. COM HI TOQUES, COMPANY!]
Loin que l’abondance et les délices aient amolli les habitants, ils ont toujours été guerriers, et les montagnards surtout ont été féroces. Mais, malgré leur valeur et leur amour extrême pour la liberté, ils ont été subjugués dans tous les temps: les Romains, les Goths, les Vandales, les Sarrasins, les conquirent. [I per a pitjor martiri, els castelladres. Qüestió de nombre, cal creure. No cardem prou, ve-t'ho ací. Molt de mastegot i poc de xeringot.]
Ils secouèrent le joug des Sarrasins, et se mirent sous la protection de Charlemagne. Ils appartinrent à la maison d’Aragon [és un dir], et ensuite à celle d’Autriche [un altre dir].
Nous avons vu que sous Philippe IV, poussés à bout par le comte-duc d’Olivarès [cagalló asnarenc, o tant se val: l'asnà cagalló olivaresenc], premier ministre, ils se donnèrent à Louis XIII en 1640. On leur conserva tous leurs privilèges; ils furent plutôt protégés que sujets. Ils rentrèrent sous la domination autrichienne en 1652; et, dans la guerre de la succession, ils prirent le parti de l’archiduc Charles contre Philippe V [CANFELIT ENTRONITZAT EN TRONA DE CAGAR-HI!]. Leur opiniâtre résistance prouva que Philippe V, délivré même de son compétiteur, ne pouvait seul les réduire [NO HAN POGUT MAI SOLS, SEMPRE ELS HA CALGUDA AJUDA DELS NAZIS DE L'INSTANT]. Louis XIV, qui, dans les derniers temps de la guerre, n’avait pu fournir ni soldats ni vaisseaux à son petit-fils contre Charles, son concurrent, lui en envoya alors contre ses sujets révoltés. Une escadre française bloqua le port de Barcelone, et le maréchal de Berwick l’assiégea par terre [MALEÏTS GAVATXS].
La reine d’Angleterre [TRAÏDORA], plus fidèle à ses traités qu’aux intérêts de son pays, ne secourut point cette ville. Les Anglais en furent indignés; ils se faisaient le reproche que s’étaient fait les Romains d’avoir laissé détruire Sagonte [Sagunt amunt!]. L’empereur d’Allemagne promit de vains secours [després ajudaran els feixistes, no pas vanament, crucialment]. Les assiégés se défendirent avec un courage fortifié par le fanatisme [en el bon sentit, fanatisme per la llibertat; no fotéssim tampoc cagarel·la]. Les prêtres, les moines, coururent aux armes et sur les brèches, comme s’il s’était agi d’une guerre de religion [BONA, LA LLIBERTAT COM A RELIGIÓ; CAP ALTRA DE MILLOR]. Un fantôme de liberté les rendit sourds à toutes les avances qu’ils reçurent de leur maître. Plus de cinq cents ecclésiastiques moururent dans ce siège les armes à la main. On peut juger si leurs discours et leur exemple avaient animé les peuples.
Ils arborèrent sur la brèche un drapeau noir, et soutinrent plus d’un assaut. Enfin les assiégeants ayant pénétré, les assiégés se battirent encore de rue en rue; et, retirés dans la ville neuve, tandis que l’ancienne était prise, ils demandèrent en capitulant qu’on leur conservât tous leurs privilèges (12 septembre 1714). Ils n’obtinrent que la vie et leurs biens. La plupart de leurs privilèges leur furent ôtés [I ENCARA NO ENS ELS HAN TORNATS, ELS ESCARRANSITS; AVARICIOSOS COBEJOSOS DE MERDA]; et de tous les moines qui avaient soulevé le peuple et combattu contre leur roi, il n’y en eut que soixante de punis: on eut même l’indulgence de ne les condamner qu’aux galères. Philippe V avait traité plus rudement la petite ville de Xativa [XATIVINS IMMORTALÍSSIMS!]dans le cours de la guerre: on l’avait détruite de fond en comble, pour faire un exemple [EXEMPLE DE FEIXISME I D'ANORREAMENT, COM ARA ELS MALPARITS (COM EL CAMPS DE LA MORT) QUI HI MANEN]: mais si l’on rase une petite ville de peu d’importance [TA MARE!], on n’en rase point une grande, qui a un beau port de mer, et dont le maintien est utile à l’État.
Cette fureur des Catalans qui ne les avait pas animés quand Charles VI était parmi eux, et qui les transporta quand ils furent sans secours, fut la dernière flamme de l’incendie qui avait ravagé si longtemps la plus belle partie de l’Europe... [RAÓ QUE TENS.]
La Catalogne semblait prête à secouer le nouveau joug, et à se donner à l’archiduc Charles. Il était impossible que le Portugal ne se rangeât tôt ou tard du côté de la maison d’Autriche. Son intérêt visible était de nourrir chez les Espagnols, ses ennemis naturels [ELS SEUS ENEMICS NATURALS, I ELS ENEMICS DELS NOSTRES ENEMICS HAN D'ÉSSER ELS NOSTRES AMICS (AH, UN PETIT RECORD PEL GRAN FÈLIX CUCURULL)], une guerre civile dont Lisbonne ne pouvait que profiter [aprofitats! Bon profit!].
14. Il (vol dir el comte de Peterborough) court avec ses officiers; il trouve des Allemands et des Catalans, qui, joints à la populace de la ville, saccageaient les maisons des principaux citoyens; il les chasse; il leur fait quitter le butin qu’ils enlevaient; il rencontre la duchesse de Popoli entre les mains des soldats, prête à être déshonorée [ai!]; il la rend à son mari [uf!]. Enfin, ayant tout apaisé, il retourne à cette porte et signe la capitulation. Les Espagnols [vol dir els castelladres] étaient confondus de voir tant de magnanimité dans les Anglais, que la populace avait pris pour des barbares impitoyables, parcs qu’ils étaient hérétiques.
15. A la perte de Barcelone se joignit encore l’humiliation de vouloir inutilement la reprendre. Philippe V [la cagadora o el canfelip original], qui avait pour lui la plus grande partie de l’Espagne, n’avait ni généraux, ni ingénieurs, ni presque de soldats. La France fournissait tout [LA FRANCE HO FORNIA TOT; ATENCIÓ AMB EL TOC. SEMPRE ELS CASTELLADRES HAN SABUT BESAR CULS MOLT MILLOR QUE NINGÚ].
En fi, divertit.
contra bords i lladres, reneix la ment! /.../ i sempre al servei de la força comuna, i no caure mai en aquelles febleses que, després de guanyar, ens han fet perdre tantes vegades LA DARRERA BATALLA (Joan Coromines) /.../ cal mai no abandonar ni la tasca ni l'esperança de llibertat i d'independència. /.../
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l'ensopit:
- Eleuteri Qrim
- Under the speckled canopy / Where, along the autumnal whisper / Of fair weather, I walked, / The enkindled persimmon, / And then the flaming chestnut, / The imploded acorn, fell… /.../.../ My eyes, and nose, and ears, / And tongue, and skin, in joy / Praised such fragile perfection. .../.../
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